Roslund interviewed in Le Journal du Dimanche
Anders Roslund is interviewed about Three Seconds, Three Minutes and Three Hours in Le Journal du Dimanche:
“We had to change hotels all the time, giving phony addresses. I was threatened to death and for a long time we had an armed guy in our living room to protect us.”
“J’ai été menacé de mort en tant que journaliste et écrivain”On a dû changer d’hôtel tout le temps, donner des adresses bidons, j’ai été menacé de mort en tant que journaliste et écrivain, on a eu pendant longtemps un type armé dans notre salon pour nous protéger.”
Again, the author duo wants to find out the truth about the truth. So, Roslund crosses the Rubicon and joins the world of cartels using his contact – and pays attention to every little detail. / Là encore, les deux compères écrivains veulent faire plus vrai que vrai. Alors, Roslund franchit le rubicon et rejoint le monde des cartels avec son contact. Avec le souci du détail niché dans un coin de sa tête.
“I’ve never been so afraid before in my whole life. We entered a world where only profit counts, and if we got in the way of someone we would be dead.”
” Je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie parce qu’on est entré dans un monde où seul compte le profit. Et si on se met en travers, on est mort.”
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